Dans un communiqué ce vendredi, les « Camarades Kadiatou Bah et Aboubacar Soumah respectivement Secrétaire Générale et Président du SLECG également membres de l’intersyndicale de l’éducation porte à la connaissance de l’opinion nationale, des Enseignantes et Enseignants de Guinée, du Ministère de l’Enseignement Pré Universitaire et de l’Alphabétisation qu’ils ne sont ni de près ni de loin associés à cette déclaration de grève visant à empêcher la tenue des examens nationaux session 2025″.
La négociation reste désormais l’arme du SLECG d’Aboubacar Soumah
« Par ailleurs, le Syndicat Libre des Enseignants et Chercheurs de Guinée ( SLECG ) rassure le gouvernement Guinéen, les Enseignantes et Enseignants, les Parents d’élèves, les Élèves et Amis de l’école qu’il privilégiera toujours la négociation et le dialogue afin d’obtenir :
1- Un statut particulier digne de nom ,
2- L’harmonisation des primes d’incitation pour tous les enseignants y compris le personnel encadrant,
3- la revalorisation des primes de craie , de transport, de documentation, et d’éloignement.
Vive le SLECG
À bas le populisme syndical ».
Une sortie du SLECG qui vient mettre à nu, la division qui règne au sein du syndicat dans le secteur de l’éducation. L’on se souvient encore des prises de position du SNE de Michel Pepe Balamou alors que l’atmosphère était tendue entre le SLECG d’Aboubacar Soumah et le régime d’Alpha Condé.
Moussa SIDIBE