Et si on parlait de tous ceux qui viennent…
Les pouvoirs en place, incapables d’entamer la détermination de la base de l’UFDG — indomptable et incorruptible — se consolent en débauchant quelques cadres pressés d’accéder à des fonctions dans l’appareil d’État.
Mais l’arbre ne doit pas cacher la forêt : chaque départ resserre les rangs. Les militants font bloc derrière leur leader bien-aimé, El Hadj Cellou Dalein Diallo, qu’aucune attaque ne peut ébranler et qu’aucun rival ne peut égaler.
L’UFDG, plus attaquée que tout autre parti, résiste. Son président, persécuté et lésé comme nul autre acteur politique, demeure le plus constant et le plus populaire. Adversaires et soutiens admettent désormais qu’il incarne le présent et l’avenir de la Guinée.
Malgré les épreuves et toutes les cabales, l’UFDG reste debout, ultime rempart contre la tyrannie et la confiscation du pouvoir. Chaque jour, des citoyens patriotes rejoignent le parti et renforcent son combat. Ces adhésions massives, discrètes mais décisives, comptent bien plus que les défections médiatisées de quelques responsables.
En démocratie, c’est « un homme, une voix ». L’UFDG, confiante, laisse les électeurs et les urnes parler pour elle.
Les faits sont implacables
Aujourd’hui, l’UFDG est la seule force politique véritablement présente sur le terrain. El Hadj Cellou Dalein Diallo incarne l’espoir d’une alternance démocratique pacifique.
Les assemblées générales hebdomadaires du parti prouvent que sa capacité de mobilisation reste intacte et que la victoire est proche.
En clair, tant que l’UFDG existera, la dictature reculera. Tant que Cellou Dalein Diallo sera en lice, aucun adversaire ne pourra revendiquer une victoire acquise d’avance.
Dans la rue comme dans les urnes, on sait qui brille de mille étoiles. Vivement que le débat sorte enfin des casernes !
Souleymane SOUZA KONATÉ,
Coordinateur de la Cellule de Communication de l’UFDG
Président de la Commission Communication de l’ANAD .