L’UFDG n’est pas un parti où un individu impose sa volonté, mais une force collective régie par des principes, des valeurs et une vision.
Dans tous les partis, il existe une minorité tentée de s’affranchir de la ligne commune. Mais la voix isolée d’un individu, surtout lorsqu’elle sonne faux, ne peut en aucun cas supplanter la volonté de la majorité. Ceux qui pensent pouvoir ébranler la cohésion de l’UFDG se trompent lourdement.
Les directives issues des instances dirigeantes sont et resteront notre seule boussole. Chaque fois que certains ont voulu s’en écarter, ils se sont perdus. On ne trahit pas ses valeurs, on ne renie pas ses convictions, même sous la pression du pouvoir ou de l’illusion des privilèges.
Parler de « chaise vide » n’a de sens que dans une compétition libre, ouverte et équitable. Or, dans un régime fermé, autoritaire et obsédé par la confiscation du pouvoir, il est naïf de croire à une quelconque opportunité à saisir. Hier encore, il restait un mince espace de dialogue ; aujourd’hui, l’horizon est verrouillé pour tous.
Ceux qui ont cru pouvoir « jouer le jeu » du pouvoir pour influencer le cours des choses l’ont appris à leurs dépens. Et s’ils pouvaient revenir en arrière, ils agiraient autrement. Tous ceux qui ont voulu infléchir la ligne d’honneur de l’UFDG ou détourner sa base de ses valeurs ont été désavoués, un à un.
Et comme les mêmes causes produisent les mêmes effets, ceux qui s’imaginent aujourd’hui pouvoir faire cavalier seul connaîtront, à leur tour, l’amère réalité de l’échec et de la solitude politique.
Que chacun fasse ses choix et les assume. Mais qu’aucun ne s’imagine être le centre du monde ni parler au nom d’un parti où les convictions sont solides et les orientations claires.
Elhadj Cellou Dalein Diallo n’est pas un homme de compromissions. Il ne servira jamais de caution morale ou politique à une parodie d’élections destinée à légitimer la dictature.
À bon entendeur…
Souleymane SOUZA KONATÉ












