Comme il fallait s’y attendre, à la faveur de sa conférence de presse ce mercredi 5 mars 2025, le premier ministre a aussi été confronté à la question de la candidature du président de la transition, Général d’armée Mamadi Doumbouya.
A l’image de ceux qui ont préalablement été confrontés à la même question, Amadou Oury Bah ne déroge pas à la règle, « c’est la constitution qui le définit »
« La candidature du Chef de l’État, c’est la constitution qui prime, indépendamment de la volonté de quiconque d’entre-nous. La décision finale de candidature revient au président de la République. Si la constitution lui permet, en toute objectivité, il n’y a aucune raison de le lui refuser. Maintenant le regard par le rétroviseur si le bilan parle, ce bilan c’est cela qui est fondamental et le bilan parle de lui-même », s’est-il défendu.
Moussa SIDIBE